4 mois. Quatre mois incroyables pour Patrick. Il n’aurait jamais crût possible ressentir et surtout, vivre dans ses chairs, ce que c’est aimer une personne. Il n’aurait jamais imaginé qu’il serait beaucoup plus flashé par elle, que le soir qu’ils firent connaissance. Clair qu’elle était physiquement imposante. Un peu trop peut-être… Mais c’était surtout sa personnalité qui captivait. L’authenticité faite femme. Plus il la connaissait, plus il l’adorait. Et il donnerait sa main à que c’était mutuel. Il avait l’énorme chance d’être un amoureux correspondu. Il était «son» pragmatisme. Elle était «son» stimulus. Elle était son septième ciel. Il était ses «pieds sur terre»… Et le meilleur cadeau du nouveau millénium: Ils se complémentaient tellement bien. Même comme tout n’était point de couleur rose.
Sa famille; et surtout sa maman et ses frangins l’adoraient. En général, tous la trouvaient intelligente, mignonne et adorable. Elle était beaucoup plus protégée, elle. Et il comprennait pour quoi. Et cette fragilité qui l’attirait en elle, cette fragilité était malheureusement réelle. Comme lui, elle provennait d’une grande famille pleine de femme et de volonté… Mais exceptionnellement remarquable sur le plan intellectuel. L’une de ses grandes soeurs était poète; et presque toutes chantaient à la chorale. Normal qu’elle l’ait dans les veines. Sa capacité et facilité pour les langues et la littérature étaient impressionantes… Tellement que parfois, il se sentait… envahi… par ses aptitudes.
Mais pour lui, ce n’était que des petits aperçus, qui ne faisaient rien d’autre qu’augmenter son attractif. De gros nuages noirs se cernaient sur leur lendemain, leur avenir. Mais cela ne les freinait pas du tout. Au contraire… Et de plus, il avait de temps en temps besoin de l’audace et du culot de sa petite amie. Simplement, elle le faisait vivre… Alors, ces quatre mois avaient signifié tout pour lui. Et encore plus pour elle. Son ambigüité était curieuse, notable… Et de son coté, Patrick avait découvert une Eva farouche… un peu froussarde… mais toujours adorable. Elle était tellement timide qu’il ne pouvait comprendre comment elle était capable de chanter devant un stade entier; et au contraire, de s’isoler et disparaitre des journées entières par frousse ou honte ou timidité… Trop surprenante.
Il avait appris à ne pas trop penser avec elle, de se laisser aller, de tenter jusqu’aux bouts de ses forces et ne jamais se rendre. Ils avaient l’habitude de maintenir de longues conversations sur tout et rien. Ils se passaient des heures au combiné. Et plus les jours passaient, plus ils étaient «accro» l’un de l’autre. Et dans le plus profond de ses pensées les plus perdues, Patrick devenait fou essayant de se controler, de plaquer ce coté de sa personne qu’il avait tellement peur d’écouter. Et encore plus depuis qu’il découvrit combien elle était sensible, et fragile. Mais il avait de plus en plus de mal à le faire, à y arriver… Elle était trop mûre pour son si jeune age. Mais vraiment trop mûre… Et tout à la fois, bizarrement enfant. L’instinct de protection qu’elle réveillât en lui se fit intense. Insupportable.
Parfois il ne savait pas trop comment gestionner ses sentiments, et trop souvent, optait pour l’introspection. Devant tous et toutes, sauf elle. Alors, quand la faim d’elle se faisait insupportable, il préferait être loin d’elle. Ben oui, il la désirait terriblement. Et pour cette raison, il essayait de la visiter chez elle. À Emana, chez lui, leur refuge était trop à la main, trop disponible, trop tentant. Et pire, il avait appris à la connaitre. Elle ne s’en rendait pas compte; mais son dégré de provocation était… impossible. Elle le rendait fou seulement de lui caresser le bras ou du fait de murmurer des mots doux à son oreille. Combien de fois s’ils se trouvaient seuls…
Mais non seulement il avait de plus en plus de mal à controler son désir près d’elle, mais aussi elle ne lui faisait pas du tout la tache facile. Et leur intimité était telle que les mots n’avaient aucun poids du tout pour définir ce que cela signifiait pour eux. Elle était tellement profonde et intense qu’il évitait carrément de se retrouver seul avec elle. Avec émotion, il se rappellât de ce qui s’était passé la dernière fois qu’ils se retrouvèrent seul à seule. Elle le rendit complètement fou. Jusqu’à tel dégré qu’ils furent sur le point d’être surpris les mains dans le sac… Needless to say, but «flesh and bones’s provocation»… Bufff, chaudement, à suivre !!!!!!!!!!!!!!!!